Nouvelle de Paul Gamberini : Les esprits géniaux
J’ai pensé que le génie suprême appartenait à quelques individus, très rares, lesquels, parfaitement conscients de leurs dons exceptionnels pouvaient faire le choix de ne rien faire, ou de ne rien « branler » du tout. Rien, absolument rien ! Que le mieux pour eux c’était de vivre pénard, libre et heureux en évitant d’en…