L’air des vacances, le retour de la souffrance
Le premier restera proscrit dans un coin de cage, les ailes atrophiées. Le deuxième ne verra plus qu’à travers un enclos. Les suivants erreront de maisons en maisons aux portes toujours closes. Menu varié à l’approche des vacances ! Rien de tel pour effacer une trace, leurs traces. Cette misère des bêtes… une souffrance criée…