Les créateurs, quelque soit leur art, toujours questionnent l’inconnu qu’ils sont au secret d’eux-mêmes et par conséquent le monde inconnu qui les entoure. Jamais ils ne se contentent de ce qu’ils voient et de ce qui est trop souvent accepté par la majorité des « autres »…
Alors, lorsqu’un artiste comme Alain Vollaire approche différentes expressions : la peinture, l’écriture tout en partageant ses recherches au fil de conférences !
Il réside à Parves, mais c’est à Saint-Pierre-de-Curtille fin avril, dans l’une des salles du château de Pomboz, qu’il a présenté les dernières approches scientifiques de l’univers, de la vie et de la conscience, le tout sur questionnements philosophiques.
Pour mémoire, la première de ses conférences avait trait à l’Alchimie, un art, une philosophie qu’il n’oppose pas à la science, du moins à la nouvelle science dite quantique.
Une vision élargie de la vie
Il nous a proposé une vision élargie de la réalité, remettant en cause nos façons bien trop humaines de concevoir la conscience. Pour lui tous les règnes terrestres sont pourvus de conscience, même les minéraux. Le problème réside dans le fait que chacune de ces consciences s’exerce sur un mode différent. Et cela jusqu’à notre planète avec la théorie « Gaîa ». D’ailleurs, la terre a par cinq fois détruit les espèces dominantes comme les dinosaures, il y a 65 millions d’années. L’homme, ne fera-t-il pas les frais d’un sixième cataclysme ? Certains chercheurs se demandent même si l’univers n’est pas un gigantesque cerveau…
Un peu de merveilleux
Très difficile de résumer en détail toutes les données qu’Alain a abordées ! Retenons quelques propos vivifiants : il est possible de communiquer consciemment avec toutes les espèces des règnes terrestres. Les arbres à Tchernobyl ont modifié leur ADN en quelques mois. Les arbres pleurent quand la sécheresse sévit. Il est prouvé qu’il est possible soit par la science, soit par le pouvoir de l’esprit de ralentir la dégénérescence de nos corps (et de nos vies).
Michel Bigoni