“Territoire d’Homme” après l’orage vient …
Cela fait bientôt 15 ans que Cécile Saint-Blancat a racheté le commerce “Territoire d’homme” au centre-ville.
Juste avant le confinement, elle avait élargi les offres de ses collections à un rayon laissé vide après la fermeture du magasin Lavandine, Grande Rue. Cécile vend les mêmes articles que proposait ce magasin, en linge de maison et de nuit. Enfin, elle présente depuis peu les produits écologiques issus d’un atelier d’insertion belleysan, Les tendances d’Emma. Oui, mais voilà le coronavirus est passé par là avec les difficultés qui ont suivi : beaucoup de ses vêtements proviennent par exemple d’Italie et la collection d’hiver s’élabore 9 mois à l’avance… De plus Cécile se retrouve seule à la vente, les locations sont toujours à honorer alors que les deux mois passés n’ont amené aucune vente. Mais Cécile est une battante et adapte son magasin à la situation : gel sanitaire disponible à l’entrée, masque recommandé et après chaque client passage au gel des poignées et de la borne de paiement. Cécile se félicite de voir arriver de nouveaux clients désirant se tourner vers le petit commerce.
“Entre-parenthèses” : les livres à nouveau
En l’absence momentanée de Claire Grocolas, nous avons rencontré son associée Clarisse Levet de la librairie “Entre-parenthèses” avenue Charles De Gaulle à Belley.
Quelle joie de pouvoir à nouveau, respectueux de toute précaution sanitaire bien sûr, flâner entre les rayons de livres. Oui, les livres sont porteurs de liberté, témoins des plus hautes pensées comme des témoignages de vie quotidienne ou lointaine… Clarisse est tout à fait heureuse de reprendre son poste à la librairie. Jamais le contact avec leur clientèle ne s’est interrompu avec un système drive qui a permis de ravitailler en bonne littérature quelques clients fidèles. Toujours le soutien au petit commerce a été effectif et prononcé. Le seul problème réside au niveau de l’approvisionnement, car les rayons commencent à s’éclaircir et les distributeurs n’ont pas encore repris leur rythme d’antan.
Une rencontre en tout positive et souriante au cœur d’un lieu diffuseur de culture et de beaux ouvrages.
A “l’Arrosoir”, les fleurs n’ont jamais été aussi belles !
Alors que les fleurs de printemps s’épanouissent dans les près, le magasin de Claire Payot “l’Arrosoir” à nouveau s’enorgueillit des plus beaux bouquets qui soient après sa réouverture.
Situé au 39 rue de la République, cette boutique est un havre de paix et de beauté. Et puis, un joli sourire sous le masque nous accueille exprimant toute la joie que Claire ressent : « Oh, ne parlons plus de cette difficile période qui s’achève, je suis si heureuse de retrouver mes clients et de voir à nouveau mes rayons ornés de bouquets de fleurs coupées ! J’ai au mieux géré ce passage, surtout avec mes fournisseurs qui ont été à l’écoute, subissant aussi de plein fouet le blocage de leurs activités ».
La fête des mamans ayant été le point d’orgue de ses retrouvailles avec sa clientèle fidèle.
Sa boutique est ouverte comme à l’accoutumée, une seule personne de préférence dans le magasin avec un masque souhaité. Un dispositif fait qu’il n’est plus possible de toucher les plantes, et un gel hydroalcoolique à la disposition de la clientèle est également utilisé pour nettoyer l’appareil CB après son utilisation.
“Perle de kaOlin”
Reprise d’activité pour l’atelier & boutique “Perle de kaOlin”, qui vibre de nouveau au rythme des séances de peinture sur porcelaine pour petits et grands (en effectif réduit, mesures de distanciation sociale obligent).
La fermeture durant le confinement a boosté la créativité de Stéphanie Zampin, qui propose désormais des kits créatifs pour s’initier ou se perfectionner à la maison. Une belle idée à (s’)offrir ! Retrouvez l’univers raffiné et poétique de cette passionnée au
6 rue Georges Girerd à Belley !