Une géode énigmatique
En 1966, Laires Luciano LUCAS, travaillant pour une mine d’agathes en Uruguay découvre une géode de huit kilos que les exploitants avaient rejeté d’un camion la jugeant impropre à la vente. La pierre est brisée en deux. Lucas la trouve et constate, en rassemblant les deux morceaux, que celle-ci a la forme d’un cœur et qu’à l’intérieur il y a des inscriptions énigmatiques de quartz et des symboles.
Le 4 février 1997, le géologue Uruguayen, Claudio Gaucher, effectue une étude de la pierre, en concluant qu’elle a plus de 130 millions d’années. Les inscriptions de quartz dessinent comme une langue écrite non déchiffrée et présente des formes symboliques comme celles d’un poisson.
« Nous nous trouvons devant quelque chose de supérieur à l’homme » affirme Lucas, et depuis ce moment, la famille Lucas s’occupe de la géode avec dévouement sans but lucratif.
Depuis des années, elle parcourt le monde et des centaines de milliers de personnes ont pu poser leurs mains dessus, éprouvant parfois, selon leurs dires, des expériences de « reconnexion » avec leur moi profond. Le long de ce chemin du cœur côté France et dans d’autres régions de la planète, c’est Michel Almeras, qui l’accompagne.
Son passage à Massignieu de Rives
Massignieu de Rives a été choisie parce que « la Pierre » a été invitée par l’association « D’une rive à l’autre » présidée par Mr Carron, bien connu dans le monde de l’immobilier régional et aujourd’hui passionné de radiesthésie…
la salle était comble ce dimanche de mi-septembre, près de l’église : 120 personnes, sans doute.
La plupart des convives ont approché et touché la Pierre avant d’écouter les propos de Michel Almeras. Ce fut un magnifique plaidoyer pour la justice sociale et plus intimement une exhortation émouvante à un retour vers l’intériorité, l’inconnaissable, la Lumière et l’Amour qui sont en chaque être humain.
Impossible de ne pas être touché au cœur.