Le web entretient, la sourde inquiétude depuis que l’homme est homme de nous retrouver soudainement face aux puissances du mal absolu, celles qui désirent avidement la fin de toute chose…
Comme les contes jadis racontés à la veillée aux enfants tremblant à l’évocation des sorcières affamées, certaines publications sur Internet nous conduisent face à cette peur primordiale de la fin possible de notre monde.
Une mythologie moderne, parfois optimiste, trop souvent négative, qu’il serait regrettable de ne pas étudier tant elle a de prise sur notre conscience collective.
Et oui, ce n’est pas anodin… trouvez les relations avec ce qui se passe aujourd’hui à nos frontières…
Prenons les noires prédictions sur le web touchant la fin du mois de septembre 2015. L’une de celles-ci est en relation avec les dernières expériences au CERN.
Les expériences en question au CERN
Le grand collisionneur de hadrons (LHC) est un anneau souterrain de 27 kilomètres construit autour de Genève, en Suisse. C’est l’accélérateur de particules le plus puissant du monde. Il pourra parvenir à une énergie jamais atteinte à ce jour.
Des études sont menées depuis de nombreuses années pour répondre aux inquiétudes sur ce que pourraient engendrer des collisions de particules à des énergies aussi élevées. Création de mini trous noirs, dislocation de l’espace-temps, en gros un saut dans le vide sans que nous puissions en prévoir les conséquences.
En 2008, un groupe de citoyens avait déposé une plainte, devant la Cour européenne des droits de l’homme, sans succès, et une pétition demandant l’arrêt du LHC avait été rejetée en 2010 par la cour constitutionnelle Allemande.
Pour la majorité des savants concernés, ce ne sont là que des peurs insensées, des chimères dignes des meilleurs scénarios de sciences-fictions. Pourtant…
La peur ancestrale revisitée aujourd’hui
Avez-vous remarqué que trois « six » sont répartis dans le sigle du CERN, 666 : le chiffre de la bête dans la Bible, celui signant la fin des temps ? Voilà, n’est-ce pas là un point de départ en tout révélateur…
De plus, la science quantique serait prête à accepter l’existence de mondes parallèles, de dimensions supplémentaires à notre plan physique. Nous nous trouvons guère éloignés des affirmations ésotériques affirmant l’existence de ces mondes invisibles s’emboîtant comme des poupées russes.
Les expériences dans le grand collisionneur de hadrons pourrait ouvrir une brèche, une porte entre ses dimensions et la nôtre…
Oui, mais voilà : un des mondes les plus proches de notre réalité serait d’après les occultistes celui des forces négatives, des esprits maléfiques. Le Pape François aurait tenu récemment des propos qui confortent ces rumeurs : « Sommes-nous au seuil des jours maléfiques dont la Bible fait allusion? Est-ce que les hordes de démons qui rôdent dans les fosses de l’enfer sont sur le point de déferler massivement dans notre monde? Il faut méditer quant à ces questions avant de permettre aux scientifiques de procéder à de telles expériences ».
Et le tour est joué: des questionnements justifiés, un peu tout de même, quant aux expérimentations scientifiques se déroulant au CERN, se voient greffées à d’autres risques inventés comme la chute d’une comète à la même époque, aux propos de quelque éminence religieuse ou scientifique, pour dessiner un tableau effrayant d’un désastre planétaire imminent.
Avons-nous vraiment quitter la peur de l’an mille ?
Allez donc visiter cette page sur Internet, mais pas avant de vous coucher… votre nuit en serait parcourues de doutes !
Michel Bigoni